Les africains sont passés maîtres dans l’art de l’ethnocentrisme.

12 octobre 2007

Quoi que l'on dise, la politique Africaine s’identifie au sermon du prêchi-prêcha ethnique, égocentrique, dont les politiques sont des fervents prophètes, mais au-delà de la compréhension de cette tare sociale, le continent nègre n’en est pas le précurseur, car les européens s’y sont aussi illustrés.

La dernière en date, est le probable éclatement du royaume belge, les belges que ma grand-mère appelait les "belgicains". Sans oublier la sempiternelle question des Balkans, détonateurs de la première guerre mondiale, et à l’origine d’un des conflits les plus meurtriers de la fin du 20^e siècle, avec la désagrégation de la yougoslavie de l'ex Tsar Tito. Mais bon, commequoi les dictatures ne sont pas seulement l’apanage du continent africain. Mais on a tendance souvent à oublier que les guerres déroulées sur le continent Africain ont déjà coûté plus de 300 Milliards de dollars aux états africains depuis 1990. Même si mon oncle Henry Lopes dans « Tribaliques » se fait le narrateur des maux du continent noir, la magie de la scission n’est pas tributaire aux nègres seuls !

Qui avait dit que l’émotion était seulement nègre ? Quoique la caque sent toujours le hareng !

Ravel Thombet.